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Vosgicimes

6 juillet 2012

Un nouveau site sur la montagne vient de naitre,

Un nouveau site sur la montagne vient de naitre, je vous présente Graton !

Vous y retrouverez des tests, des articles, et pleins d'autres choses, je l'espère !

http://graton.jimdo.com/

 

                                                    graton

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6 juin 2012

Récit d'une semaine à Chamonix

Mercredi nous entreprenons, Munsterman et moi, un petit voyage à St Gervais et Chamonix, histoire de pouvoir faire quelques sorties avant le départ de l'irlandais.
Ce qui va être raconté ici changera définitivement l'histoire, ainsi que la définition du mot "alpinisme". La nouvelle génération est là, tremblez, Rébuffat et autre Messner, la légende ne retiendra pas tous le monde !! jocolor 

1er jour : Départ de Strasbourg, et première grande claque.

Nous partons en début de matinée, pour une fois peu d’embouteillage en Suisse, et on arrive assez tôt dans l'aprem au Fayet, pour voir le site de dry et pourquoi pas, essayer quelques lignes.
Le site de dry est au fond du parc thermal du Fayet, un bel endroit avec plusieurs falaises équipées, un grand parc, des canards et des touristes.


Bah oui, ca déverse un peu !



Le site est très facile d'accès, mais aucun topo, aucune infos par rapport au niveaux des voies, et surtout, rien de vertical, que du déversant, à tel point qu'on a eu beaucoup de mal pour clipper les premiers points.
Le jeunot a assuré en sortant une petite voie, la falaise continuant encore sur une quinzaine de mètre, de plus en plus déversant !


Lâches pas les piolets, sinon faudra monter les décrocher !



Le rocher est friable, surement peu agréable pour grimper en libre, et se prête donc très bien à la pratique du dry. Le dry est né de la pratique de la cascade de glace : au départ, les grimpeurs de cascade extrème cherchaient une technique pour rejoindre les colonnes les plus isolées, et le dry est né ainsi, pour devenir un véritable sport, plutôt très élitiste !

Finalement, après plusieurs essais et pas mal de sueur, on décide de plier bagage. L'équipement un peu "aéré", les points tombés et les plaquettes qui tournent étaient également là pour nous démotiver. La journée fut dure pour nos bras et pour notre amour-propre, le dry c'est clairement pas pour les petits joueurs !


2ème jour : Les dalles de Cheserys et la montée au Lac Blanc, où "quand ca veux pas, ca veux pas".

Le lendemain, on se gare tous les deux à Tré le Champ, à coté d'Argentière, et on monte par un bon chemin, vers le refuge du Lac Blanc, avec une étape aux dalles de Cheserys, une école de grande voie, suréquipée et très accessible aux débutants comme aux grimpeurs plus aguéris. 


Petite surprise sur le chemin, un joli serpent sur lequel j'ai presque marché. Surement une couleuvre, qui est partie sans demander son reste.



Le cadre est idéal, la dalle prend le soleil toute la journée (orientée sud) et les bouquetins locaux ne sont pas du tout farouche. Seul petit problème, le départ de quelques voies est en neige, pas terrible pour grimper en dalle !


Les grimpeurs locaux prennent le soleil, attention le niveau est élevé !


Vu sur le Honeck Mont Blanc, le temps est au beau.


Le village du Tour et le col de Balme depuis la voie jaune.



Après s'être fait quelques longueurs et prélasser au soleil, on repart vers les Aiguillettes d'Argentière, deux petites aiguilles équipées pour grimper, et là commence les difficultés. Le chemin emprunte des échelles et des mains courantes sont posées, mais aujourd'hui, le tout est couvert par un ou deux mètres de neige, creuse par endroit !


Une des aiguillettes d'Argentière, pas très long à grimper mais bon gaz quand même.



"Borat" Munsterman se lance dans les rochers à gauche du goulet enneigé, pose quelques coinceurs et ressort plus haut. Je le suis et nous passons cette première épreuve, pour arriver quelques centaines de mètres plus loi sur le même scénario. Il semblerait à ce moment que la neige soit partout au dessus de 2000m, et que notre ascension de l'Aiguille de la Persévérance soit compromise. Après un bref appel à l'OHM de Chamonix, on décide de rebrousser chemin, pour limiter les dégâts. On croisera un groupe de quatre randonneurs qui, sur nos conseils, décident de redescendre avec nous et prennent notre rappel pour redescendre le gros névé. On recevra même deux canettes pour nous remercier ! 

Et voilà, redescente rapide à la voiture, décidément la montagne ne veux pas de nous pour l'instant !


3ème jour : La Duchère, où comment se prendre une bonne décullotée dans du 5b.

On continue sur notre lancée !
Aujourd'hui, où grimper ? que faire ? La Duchère, aux Contamines, semble un site parfait pour nous, cadre idéal (un parc avec plusieurs lacs, plage de sable fin, terrain de pétanque, etc) falaise exposée nord pour apaiser nos coup de soleil de la veille, voies pas trop dure, tout ça semble parfait !
Le site est très chouette, calme (on est encore en hors saison), le temps est au calme, bref tout est réuni pour se faire une petite journée grimpe tranquille.
On attaque dans un 5b : ca va bien, jusqu'au petit surplomb. C'est 5b, donc il doit y avoir un gros bac pour passer le pas... et ben non.
Munsterman tente le coup, ca passe pas, il essaye à gauche, il essaye à droite, bof, rien n'y fait ! la loose !!
on relit le topo, qui dit "prendre bien à droite au niveau du surplomd, sinon c'est plus dure". Super ! En fait, la voie est cotée 5b, mais c'est si tu passes dans la voie d'à coté ! cotation plutôt sournoise en réalité !
On aura le temps de tester encore quelques 5b et 5c, avant que l'orage freine notre Munsterman qui commençait à être chaud. Bilan de la journée : beaucoup de remise en question, puis finalement un début d'espoir, qui sera définitivement freiné par la pluie.


la suite sur le forum Vosgicimes.


6 mai 2012

Une petite journée comme une autre...

Voilà, après toutes ces hésitations, ces craintes et ces désillusions, je décide enfin d'essayer : le TARP.

C'est quoi un (une ?) tarp ? C'est bêtement une bâche, rien de plus, avec de quoi l'accrocher par terre. Le principe étant de protéger simplement du vent et de la pluie. Pas des insectes ? ben non, ca serait pas aussi marrant sinon.

Me voilà donc parti, après une petite séance de grimpe à Klingenthal, mon sac à dos sur les épaules, vers le Heidenkopf, petite tour isolée qui surveille Klingenthal et les vallées proches, la vue étant magnifique de là-haut.

Arrivé sur mon air de camping improvisée, je regarde un peu le sol et je trouve l'endroit idéal pour planter mon bout de tissu. Un endroit plat, pas de caillou, pas dans une cuvette qui retiendrait l'eau de pluie. Le montage que j'ai choisi est très simple, il suffit de deux batons de marche et de quelques ficelles et le tour est joué ! Une fois la toile tendue et mes affaires abritées en dessous, je regarde l'ensemble un peu intrigué. 

Et s'il pleut ? je fais quoi s'il pleut ? Et si les moustiques m'attaquent toute la nuit ? je vais où ? On verra, d'autres l'ont fait, pourquoi pas moi ?

                                      DSCF1872

                                                           La tour du Heidenkopf, vue imprenable sur les vallées environnantes.

                                  

Finalement les conditions sont idéales, pas de vent, aucun moustique, à part quelques bruits un peu bizarre pendant la nuit et la visite d'un hibou, rien a signaler, la nuit a été intéressante, car j'ai pu essayer cette solution, légère, pas chère et simple. Finalement aucun regret, ou juste peut-être de ne pas avoir essayer avant !

                                      DSCF1873

                                        Ne pas oublier de protéger le sol sous la bâche, sinon le matelas gonflable n'appréciera pas !

 

Maintenant, il faut que je réfléchisse à la solution en cas de pluie, car la bâche ne protège que 50cm  de plus de chaque coté que le sac de couchage. Il existe une grande variété de montages différents, mais pour les maîtriser, il faut un peu d'entrainement, ce sera pour la prochaine fois  ;)

Je vous invite à visiter le Forum de la randonnée légère, http://www.randonner-leger.org/, une vraie mine d'information !

 

Gros Minet.

  

 

2 mai 2012

Le forum change (encore !)

 Déjà 400 visites sur le blog depuis sa création, il y a quelques jours, pas mal !

Le forum avance, doucement mais surement, la présentation a un peu évoluée, une carte avec les points d'intérêt escalade et alpinisme a été rajoutée, il reste à rajouter de nombreux points, mais j'y travaille.

N'hésitez pas à apporter vos contributions, il manque encore beaucoup de chose, surtout en rando, VTT, ski, ca pourrait donner une belle vitrine sur notre région ;)

 

                 Carte des sites d   

La nouvelle carte Google ajouté au site aujourd'hui, n'hésitez pas à proposer vos points d'intérêt, en rando comme à ski, par exemple, beaucoup de travail reste à faire.

oz.

 

30 avril 2012

La 10e course de descente VTT de Barr les 14 et 15 avril 2012 par NussFatclub

La 10e édition de la course.

Les 14 et 15 avril, plus de 300 pilotes se sont retrouvés à Barr (67) pour disputer les championnats d’Alsace de descente VTT. Cette année marqua la 10ème édition de cette manifestation d’ampleur européenne puisqu'on a retrouvé entre autre des Français, Allemands, Suisses ou Belges sur la liste de départ. Toujours aussi spectaculaire avec son célèbre mur à la fin du tracé, la piste à fait peau neuve avec un nouveau départ, de nouveaux sauts et même un wallride en bois au milieu du tracé (plan incliné sur lequel les pilotes roulent à l'horizontal !).

A l’origine de cet évènement il y a tout juste 10ans, on retrouve Jérôme Clementz, pilote du team Cannondale Overmountain et déjà vainqueur de l’épreuve. Depuis plusieurs années, il s’est spécialisé dans la descente marathon et l’enduro, mais il est bien sûr présent cette année pour défendre son titre de champion d’Alsace avec un vélo qu’il vient tout juste de monter pour l’évènement. 


Jérome Clementz, le champion local, toujours là pour animer la course de Barr. Photo Nuss FatClub



Comme chaque année, le gratin des pilotes locaux a fait le déplacement, dont des pilotes de renommée internationale. Parmi eux Remi Thirion (11ème aux derniers championnats du Monde) ainsi que Marcus Klausmann, tout deux vainqueurs des éditions précédentes, le Vosgien Pierre Charles Georges ou encore l’allemand Fabian Fader pour ne citer qu’eux.


Le titre de Champion d'Alsace en jeu.

Les prévisions météorologiques de la semaine firent craindre le pire pour le weekend, mais c’est avec le soleil que les coureurs eurent le plaisir de participer aux entrainements du samedi, ainsi que de prendre le départ de la course le dimanche, sur une piste arrosée par la pluie dans la nuit.

 

(...)

 

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29 avril 2012

Test : Le Quark dernière version.

  J'utilise ces piolets depuis deux hiver seulement, ils sont les modèles intermédiaires dans la gamme Petzl, entre le piolet technique classique (Sum'tec chez Petzl, AirTech Evo chez Grivel par exemple) et le piolet de pure cascade (comme le Nomic, son grand frère). Ils ont principalement servi en cascade, en mixte et en couloir de neige, et j'ai pu les prêter à plusieurs occasions, pour avoir des avis extérieurs.


Ce qu'en dit Petzl :

Piolet polyvalent, pour l'alpinisme technique et la cascade. Construction modulable de la tête qui lui permet de s'adapter à toutes les situations. Livré avec appui Griprest et ergot Trigrest pour améliorer la prise en main et permettre la grimpe sans dragonnes.



Différentes configurations du Quark. A gauche la version panne, au milieu la version dépouillée de 460g, à droite une configuration cascade, avec masselotte et Trigrest. Petzl.



(...)

 

En détails :

Ce qui pourrait choquer les utilisateurs de l'ancien Quark ( une référence depuis de longues années ) c'est la différence de poids entre les deux modèles. L'ancien Quark pèse 650g, à peine 100g de plus que le nouveau, mais surtout, la largeur plus importante de la tête (encombrement entre la pointe de la lame et l’extrémité de la panne) induit une certaine inertie à l'arrière du piolet, le poids étant plus en porte-à-faux, le piolet a tendance à tourner dans la main lors de l'impact. Sur le nouveau, la tête ultra-compacte (la même que le Nomic) rapproche le poids de la lame, on a moins cette impression que le piolet bascule à chaque coup, la frappe est plus directe.


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28 avril 2012

Premier contact : baudrier Singing Rock Flake

Prévu pour le ski de randonnée et l'alpinisme, le Singing Rock sera également parfait pour un usage randonnée glaciaire et course neigeuse. La marque Tchèque propose ici un baudrier léger, doté d'une finition valorisante et tout ça pour un prix des plus abordables. Premier contact.


Ce qu'en dit le constructeur :

- boucle rapide Rock&Lock
- ceinture et cuisses en tissu PES résistant à l'abrasion et qui ne retient pas l'humidité
- 2 porte-matériels
- poids : 240g en taille M
- 3 tailles disponibles, du S au XL
- garantie 3 ans
- tarif de 38€ pour la France



Steve nous présente le nouveau Flake, l'Historiette, Klingenthal (7a).
 
 

En détails :

A l'ouverture de la petite pochette protégeant le baudrier, on est de suite surpris par le poids de l'ensemble. Tout est épuré, simplifié, les renforts peu présents, pas de mousse sur la ceinture ni les tours de cuisse. On avait prévenu, ce baudrier n'est pas prévu pour rester suspendue dedans pendant des heures, clairement. Mais ce n'est pas son but, il est prévu pour vous retenir en cas de chute en crevasse ou de glissade en neige, et pour ca il parait parfaitement dimensionné.



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27 avril 2012

Attention ! l'escalade rend malvoyant !

Décidemment, en plus d'effrayer les oiseaux nicheurs et de rendre les rochers plus blanc que blanc à coup de magnésie, l'escalade rendrait également presbyte. 

Les dommages n'ont pu être mesurés scientifiquement, mais le remède est là : dorénavant le bas de chaque voie sera gravé en lettres géantes, pour que le grimpeur soit sûr de ne pas se tromper de voies et ainsi, de pouvoir grimper sans stress.

Les premiers équipements en place ont été réalisés à Klingenthal, mais l'<<artiste>> n'a pas encore terminé de graver les 40 et quelques noms du topo. Félicitation en tout cas pour ce travail, à quand des cordes fixes pour faciliter aussi la montée des voies ? ou les prises peintes en couleur pour mieux être vues ?

                           

DSCF1697

 


C'était vraiment indispensable ?


Oz

     

26 avril 2012

Test de la corde Edelrid Cobra 10.3mm

Je possède cette corde depuis deux ans, elle a servi parfois 4 fois dans la semaine, souvent moins, mais elle a vu le grès des Vosges au moins une centaine de journée, et voici le bilan.


                           
                                                                    La corde Edelrid Cobra 10.3mm.



Quand on commence l'escalade, on se pose plein de question : où grimper, avec qui, que faut-il faire pour progresser. Et puis on se demande quoi acheter comme corde. La corde, pour le grimpeur, c'est un investissement sérieux : il faut qu'elle soit résistante pour ne pas s'user trop vite, qu'elle soit assez souple pour ne pas souffrir quand on tombe, et elle ne doit pas être trop élastique non plus, car au début on grimpe beaucoup en moulinette.
Alors que faire ? oublier les cordes de 9mm avec lesquelles quelques grimpeurs sponsorisés grimpent et qui s'usent au bout de trois mois, éviter la corde en chanvre qui traîne dans le grenier du grand-père, et choisir une valeur sûre.
Autant le dire tout de suite, j'ai été très agréablement surpris par cette corde, et elle m'enchante encore deux ans après.
La Cobra est une corde d'entrée de gamme par son prix ( 100€ les 70m ) mais pas par sa longévité. Elle a été utilisée principalement avec un Grigri première génération, en général au moins deux fois par semaine pendant la belle saison.On peut dire qu'elle a donc servi au moins une centaine de jours, souvent sur le grès de Klingenthal, abrasif et poussiéreux par terre, l'endroit est assez usant avec les cordes.


Le printemps revient, les cordes sortent du sac et le rocher est agréable !



La suite sur le forum Vosgicimes.forumalsace.com.

 

 

24 avril 2012

Dis Papa, c'est quoi un Vosgien ?

Voici la réalité sur le mythe du Vosgien, cette créature légendaire hantant les forêts et les rochers de la région.

Le terme "Vosgien" serait dérivé de "vochain", une créature légendaire de l'antiquité, à laquelle certaines sociétés vouaient un culte satanique.
Ce terme, qui avait presque disparu à travers les siècles, fut réutilisé pour la première fois à la cours de Louis XIII, en 1634. A cette époque, le Roi souhaitait faire cartographier l'ensemble du royaume. Les Vosges, isolées à l'Est de l'Empire, étaient encore très méconnues. Les vallées étaient presque inhabitées, et nul ne savait ce qui vivait dans les forêts au dessus des rares hameaux. Les membres de la première expédition lancé par le Roi disparurent presque tous dans des conditions mystérieuses, à l'exception d'un seul homme, David Guétad.
Après plusieurs jours de fièvre délirante, il raconta ce qu'il avait vu là-bas, et donna ainsi naissance au mythe actuel. De "Vochain", le nom est devenu progressivement "Vosgien", mais les gens de la région parlent toujours de "Voches" pour désigner ces forêts montagneuses surplombant la région.


                                                         
                                                                   Les Vosgiens vu par un artiste du 18e siècle.



Aujourd'hui, on sait de source sûr que les vosgiens habitent toujours les lieux. On a retrouvé des corps de moutons déchiquetés et éviscérés brutalement. Le loup fut encore une fois accusé, mais les biologistes s'entendent pour dire que seul une créature féroce et imposante comme le Vosgien serait capable de cette sauvagerie.


                       
                                            Surpris près du refuge des Trois Fours, son existence ne fait plus aucun doute.




D'après le célèbre paléontologue Ohmacumba Macoumba, le Vosgien vivrait dans les arbres, et se reproduirait sur les falaises, nombreuses dans ces forêts. Son poil est épais pour résister aux hivers très rudes dans la région. Ses doigts puissants lui permettent d'évoluer aisément dans les zones rocheuses, où les mâles se livrent aux parades de séduction, les femelles étant rares et très convoitées.


                                                
                                                                Vosgien observé dans la forêt de Niederhaslach, août 2009.



si vous croisez un spécimen, surtout ne bougez pas et ne le regardez pas fixement, il prendrait cela pour un affront et pourrait vous attaquer. On ne connait pas encore totalement son comportement mais certains (le professeur Erica Malot du National Géographic entre autre) prétendrait qu'il vie en groupe avec une structure familiale, proche de l'Homme. 
Mythe ou réalité ?


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